29 Janvier 2016
Les bonnes pratiques du marketing direct à dupliquer par les assureurs
Par Charles Brillet
Conférence : Connecté et repensé : le Marketing Direct vu des USA :
Lieu : Shangri-La Hotel
Date : mardi 26 janvier 2016
Avec :
Christine Kerdellant
Directrice de la rédaction de L'Expansion et directrice adjointe de la rédaction de L'Express.
Kilian Schaffer
Directeur général de Havas Discovery Worldide
Jacques Séguéla
Publicitaire, Consultant pour Havas
Alain Nemarq
Président-directeur général de Mauboussin
Audrey Barbier-Litvak
Directrice générale France de Glossybox
Catherine Daneyrole
Directrice générale adjointe en charge du Pôle Courrier La Poste Courrier
Christophe Barbier
Directeur de la rédaction de L’Express.
On assiste à un retour en force du marketing direct, aux Etats Unis, passant d’une communication mass media à la singularité. En 2015, les entrepreneurs américains ont reçu 2 mailings papier, le premier provenait de Google et le second de Facebook. Instructif !
« C’est la fin du gavage » confirme Jacques Séguéla.
Le mailing papier est à ce titre connecté et repensé.
Pour les assureurs, revenir au marketing direct à un intérêt commercial indéniable mais cela nécessite une mise en œuvre personnalisée et connectée :
· Un mailing papier call to action, avec par exemple une URL personnalisée vers une offre en ligne digitalisée.
· Une offre individualisée, avec par exemple l’envoi d’une simulation retraite réalisée en fonction de l’âge de naissance du client et d’un futur départ en retraite.
· Un faible volume d’envoi associé à une relance physique.
· La nécessité d’une base de données renseignée et exploitable
Les acteurs de la net économie l’ont bien compris (SARENZA, PHOTOBOX et autres) en passant d’une communication de masse à un marketing direct de flux et régulier.
Cette hyperpersonnalisation liée à une émotion de marque renfonce la fidélité des clients.
Je conclurais par la phrase de Jacques Séguéla qui incite de revenir à « l’idée » grace au marketing direct : «l’argent n’a pas d’idée, seuls les idées font de l’argent ».